L’Anses reconnaît les vertus environnementales du NutriSphere-N
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Alors que le ratio entre le prix de l’urée et l’ammonitrate est historiquement bas, la mise à jour de l’AMM du NutriSphere-N officialise son action de réduction des pertes d’azote par volatilisation ainsi qu’une amélioration de la disponibilité de l’azote pour la plante. Le bénéfice de ces deux actions se traduit par une hausse de rendement moyen de 5 % dans l’ensemble des essais mis en place. Cet additif agronomique n’est pas classé CMR et ne présente aucune toxicité pour l’environnement.
L’Anses reconnaît les vertus environnementales du NutriSphere-N
Fertiberia - Vendredi 22 juillet 2022
Alors que le ratio entre le prix de l’urée et l’ammonitrate est historiquement bas, la mise à jour de l’AMM du NutriSphere-N officialise son action de réduction des pertes d’azote par volatilisation ainsi qu’une amélioration de la disponibilité de l’azote pour la plante. Le bénéfice de ces deux actions se traduit par une hausse de rendement moyen de 5 % dans l’ensemble des essais mis en place. Cet additif agronomique n’est pas classé CMR et ne présente aucune toxicité pour l’environnement.
Amélioration de la disponibilité de l’azote pour les plantes et limitation de la perte d’azote par volatilisation, telles sont les deux caractéristiques retenues par l’Anses lors de la récente mise à jour de l’AMM du NutriSphere-N. « C’est aujourd’hui le seul produit sur le marché ayant obtenu une AMM de l’Anses et qui valide la revendication sur la limitation de la volatilisation de l’azote sous forme ammoniacale », explique Emmanuel Hequet, directeur Europe & Afrique de Verdesian, qui produit le NutriSphere-N.
Un polymère organique 100 % biodégradable
Cet additif agronomique se distingue des inhibiteurs chimiques classiques par son origine, sa biodégradabilité et son absence de toxicité pour le sol, NutriSphere-N n’est, de plus pas classé CMR. Polymère organique captant les cations du sol (nickel, cuivre et fer) pour ralentir l’activité des bactéries agissant sur la dégradation de l’azote, « contrairement aux autres inhibiteurs commercialisés, le NutriSphere-N ne présente aucune toxicité pour les bactéries : il respecte la vie du sol », précise Maxime Steffen chef produits fertilisants techniques chez Fertiberia France qui commercialise ce produit.
Utilisé en imprégnation des granulés d’urée, cet additif agronomique ne nécessite qu’un équipement de protection de base. Il s’utilise à une dose de 2,1 litres par tonne d’engrais et la durée de conservation dans son emballage est de 24 mois.
-80 % d’ammoniac volatilisé
-50 % N2O émis
+5,4 % de rendement
Diminution des émissions de polluants et GES, gain de rendement
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : réduction de la volatilisation de l’ammoniac de plus de 80 % et baisse de moitié des émissions de gaz à effet de serre (N2O, protoxyde d’azote). En limitant les pertes d’azote dans l’air, mais aussi dans le sol, le produit améliore la disponibilité de l’azote pour la plante et donc le rendement final. Plus de 70 essais menés entre 2015 et 2021 montrent une hausse de rendement de 5,4 % sur blé, orge, colza, pomme de terre, maïs et betterave à sucre.
Dans un contexte économique où le prix de l’unité d’azote uréique est historiquement faible par rapport à l’azote nitrique-ammoniacal (1,74€/Kg de N pour l’urée contre 2,48 pour l’ammonitrate 33,5), l’imprégnation de granulés d’urée est une solution très compétitive. « Grâce à NutriSphere-N, l’urée imprégnée est aussi très intéressante sur le plan écologique », conclut Jean-Luc Pradal, directeur général Fertiberia France.
« Le seul produit sur le marché ayant une AMM de l’Anses qui reconnaît officiellement la limitation de la perte d’azote par volatilisation »
Emmanuel Hequet
directeur Europe & Afrique de Verdesian
Préserver la qualité de l’air
Les activités agricoles sont des sources d’émissions de polluants atmosphériques qui ont un impact sanitaire et environnemental important : en 2020, le secteur a contribué à 93 % des émissions d’ammoniac (NH3) et 10 % des émissions de particules fines (PM2,5) sur la France métropolitaine (Secten 2022).