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Les bénéfices de l’ammonitrate soufrée MYNITRAS® sur céréales à paille

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Les conditions climatiques de l’automne et de l’hiver ont rendu les semis de céréales à paille parfois compliqués. En plaine, les situations sont actuellement très diverses en fonction des dates de semis et des conditions d’implantation, ce qui nécessite d’adapter ses pratiques de fertilisation azotée.

Les bénéfices de l’ammonitrate soufrée MYNITRAS® sur céréales à paille
Les bénéfices de l’ammonitrate soufrée MYNITRAS® sur céréales à paille

Sur le marché trois grands types de fertilisants azotés simples qui peuvent être utilisés en grande culture : l’urée, la solution azotée et l’ammonitrate soufrée comme MYNITRAS®. Pourquoi cette dernière forme présente-t-elle des avantages une année comme celle-ci ?

Un apport à tallage à prévoir dans beaucoup de situations, avec de l’azote nitrique rapidement disponible

Dans beaucoup de situations cette année, un apport au tallage est justifié. En réalisant cet apport avec de l’azote nitrique, il est rapidement absorbé par les plantes et directement disponible même lorsque le sol est froid. C’est donc un avantage important pour le premier apport d’azote.

On préconise un apport d’environ 40 kg N/ha, à adapter à chaque situation. Le fractionnement des apports sur les parcelles mal enracinées sera plus bénéfique qu’un apport conséquent au tallage. En effet, la plante n’est pas encore en capacité d’absorber de grandes quantités d’azote.

Dans tous les cas, cet apport doit être réalisé sur des sols ressuyés et des parcelles désherbées au préalable pour éviter de fertiliser les adventices présentes dans les parcelles.

Combiner azote et soufre, un choix gagnant

Comme l’azote, après un hiver pluvieux, le soufre a pu être lixivié. Le risque de carence est donc plus important. La grille de décision d’Arvalis peut vous guider dans vos décisions d’apport.

Apporter de l’ammonitrate soufrée comme MYNITRAS® permet d’apporter le soufre et l’azote en un seul apport. Ce soufre, sous forme sulfate sera rapidement assimilable par la plante. Les besoins en soufre d’une céréales sont les plus importants à partir du stade épi 1 cm et durant toute la montaison. Pour éviter le risque de carence, il est recommandé de réaliser l’apport jusqu’à début montaison si l’apport à tallage n’a pas été réalisé avec de l’ammonitrate soufrée.