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Pucerons, des symptômes qui ne trompent pas

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Ils adorent les températures douces et peuvent anéantir une récolte entière de céréales. Visibles dès l’automne, les pucerons attaquent les parcelles par foyer. Ils peuvent transmettre les virus de la Jaunisse nanisante de l’orge, JNO, qui réduit la taille et la biomasse de la plante. Le point sur les signaux à surveiller.

Pucerons, des symptômes qui ne trompent pas
Pucerons, des symptômes qui ne trompent pas

Pucerons, des symptômes qui ne trompent pas

Syngenta - Jeudi 25 novembre 2021

Ils adorent les températures douces et peuvent anéantir une récolte entière de céréales. Visibles dès l’automne, les pucerons attaquent les parcelles par foyer. Ils peuvent transmettre les virus de la Jaunisse nanisante de l’orge, JNO, qui réduit la taille et la biomasse de la plante. Le point sur les signaux à surveiller.

Pucerons, des symptômes qui ne trompent pas - © D.R.
Pucerons, des symptômes qui ne trompent pas - © D.R.

Responsables de la transmission des virus de la Jaunisse nanisante de l’orge (JNO), les pucerons sont de redoutables ravageurs des céréales. Lorsqu’ils envahissent une parcelle, les dégâts peuvent atteindre 50 % du potentiel des blés d’hiver et anéantir la récolte des orges. Si les insectes pullulent, leurs piqûres alimentaires peuvent également être à l’origine de pertes directes.

Des foyers jaunes dans la parcelle de céréales

La vigilance est de mise pour ces insectes qui arrivent à l’automne et dont les symptômes ne sont visibles qu’en sortie d’hiver et pendant le printemps. La nuisibilité des pucerons progresse par phase. La première se déroule entre la fin du tallage et le début de la montaison des céréales, où des ronds jaunes apparaissent dans les champs. Ces foyers de contamination sont dus à la fois aux pucerons ailées et aux aptères, générés par reproduction asexuée, qui se déplacent peu, contaminant la parcelle par zone.

Talles réduits et parcelles moutonnées

Ensuite, la JNO entraîne des régressions de talles observables pendant la montaison des céréales. La taille et la biomasse des orges d’hiver se réduisent, d’où le terme de « Jaunisse nanisante de l’orge ». À ce moment-là, les parcelles prennent un aspect moutonné. Sur les blés, les symptômes apparaissent au niveau des talles mais aussi de la dernière feuille étalée qui prend une coloration rouge.

Foyers jaunes dans les parcelles de céréales, taille et biomasse réduite, dernière feuille étalée du blé couleur rouge… Les symptômes des attaques de pucerons sont visibles en sortie d’hiver et pendant tout le printemps.

Les pucerons aiment le soleil

L’anticipation demande d’observer les pucerons dès le début de leur apparition, à l’automne. Visibles sur les plantes, ils adorent les températures douces et encore plus le soleil : la surveillance s’effectue en milieu de journée, quand il fait beau. Le soir, les pucerons ont tendance à descendre au pied de la céréales pour s’abriter. L’observation se focalise alors sur et sous les feuilles, ainsi que dans le cornet.

Seuils et surveillance

Avec douze générations asexuées et une sexuée, les pucerons peuvent rapidement pulluler dans la parcelle. L’observation et la réactivité sont indispensables pour ne pas se laisser déborder. Au-dessus de 10 % de plantes porteuses ou après 10 jours consécutifs de présence de l’insecte, l’intervention est utile pour préserver le rendement

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L’innovation Inatreq active assure les rendements à venir, tout en combinant rentabilité et souplesse de positionnement - © D.R.
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