« Vente de services : traiter des opportunités au plus près de leur expression. » Emmanuel Séné, Océalia
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La transformation digitale des coopératives rapproche les conseillers et les agriculteurs. L’intégration de données, au travers d’une interface simple, et leur traitement assurent une prise en charge immédiate du besoin de l’adhérent. Explications avec Emmanuel Séné, Responsable Innovation Marketing et Développement chez Océalia.
« Vente de services : traiter des opportunités au plus près de leur expression. » Emmanuel Séné, Océalia
Send-Up - Lundi 12 septembre 2022
La transformation digitale des coopératives rapproche les conseillers et les agriculteurs. L’intégration de données, au travers d’une interface simple, et leur traitement assurent une prise en charge immédiate du besoin de l’adhérent. Explications avec Emmanuel Séné, Responsable Innovation Marketing et Développement chez Océalia.
Lorsque Emmanuel Séné raconte la transformation digitale d’Océalia, l’accent est mis sur le rapprochement de l’agriculteur avec son conseiller. Ou l’utilité du numérique pour ne plus manquer d’opportunités. « Avec la plate-forme Send-Up, nous sommes allés progressivement de la solution d’e-mailing simple jusqu’à une application entièrement dédiée à la gestion des besoins des adhérents », décrit le responsable innovation marketing et développement. Destinée aux conseillers d’exploitation, aux responsables produits et aux dépôts, cette application relie tous les services de la coopérative, jusqu’au siège. En un clic, la demande de l’adhérent est centralisée et transmise au service concerné qui sera chargé de la traiter.
Ne pas manquer les opportunités
Une opportunité, un « lead ». « Dès que le conseiller d’exploitation identifie un besoin, il peut générer une opportunité de service, ce qu’on appelle « un lead », directement depuis son application. De même, un adhérent souhaitant être recontacté suite à la réception d’un mail peut également le faire via un simple clic dans son mail, explique Emmanuel Séné. Ce système nous permet de centraliser toutes les opportunités détectées sur le terrain pour organiser une prise en charge la plus rapide possible : soit le conseiller d’exploitation la prend en charge directement pour la traiter, soit il la transfère à une ressource interne pour un besoin d’expertise. Il peut aussi générer un lead afin que l’agriculteur soit contacté par le siège. Ainsi, nous pouvons traiter les besoins des agriculteurs, au plus près de leur expression. »
« Tous les services se signent en digital. »
Leads et contrats de service sont dans une même application. Une grande partie de la contractualisation des services se déroule aujourd’hui en format digital : une vraie simplification pour les agriculteurs comme pour les conseillers. « La signature électronique représente 95 % de la contractualisation des adhérents en contrats d’accompagnement avec la coopérative ».
Dépoussiérer le bilan annuel
L’an dernier, le besoin s’est fait sentir de remettre les bilans annuels au goût du jour afin de mieux répondre aux besoins des équipes et des adhérents. Pour cela, la coopérative cognaçaise a opté pour un support d’entretien 100 % digital. « L’agriculteur retrouve de nombreux indicateurs résumant son activité avec la coopérative sur l’exercice passé : chiffre d’affaires, tonnages et modalités de collecte, services consommés, remises obtenues, etc… décrit Emmanuel Séné. Tout cela sous forme de courbes et graphiques, c’est beaucoup plus dynamique pour créer de la discussion et identifier avec l’adhérent des pistes de travail et d’amélioration. »
Lorsque les besoins des adhérents convergent, la transformation digitale permet aussi à la coopérative de concrétiser rapidement un outil d’aide à la décision. C’est le cas d’Oscar, un outil en ligne de pilotage de la commercialisation des céréales et d’analyse de risque, lancé il y a plus d’un an par Océalia. Pour apporter une réponse à la volatilité liée au climat mais aussi à la géopolitique…Au plus près des besoins, présents comme futurs.