infos rapides

Alain Bougrain-Dubourg, président de la LPO (Ligue pour la Protection des Oiseaux) inaugurera vendredi 19 juin le nouveau siège social le l’association aux Fonderies Royales à Rochefort, en présence de personnalités politiques locales et nationales. Le 21 mai, le petit épeautre de Haute Provence et le kiwi de l’Adour ont obtenu l’indication géographique protégée (IGP). Le petit épeautre est cultivé dans les Alpes de Haute-Provence, les Hautes Alpes, le Vaucluse et la Drôme. Le kiwi de l’Adour est produit au Sud du département des Landes, au nord des Pyrénées Altlantiques et à l’ouest du Gers. Le loup a été retiré de la liste des vertébrés menacés d’extinction en France, par un arrêté du ministère de l’écologie, publié au JO du 29 mai. Le loup se porterait mieux en France, avec une aire de répartition en hausse de 25 % depuis l’hiver 2007-2008. L’ONCFS (Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage) a dénombré 26 zones de présence sédentarisée du loup (une de plus que l’an dernier), et estime que la population excède les 180 individus, constitués en 19 meutes. Le Conseil général du Finistère poursuit son soutien à l’agriculture biologique. Il accordera ainsi plus de 24 500 € à Inter Bio Bretagne pour son programme de recherche ; IBB est une structure de concertation et d’échanges entre tous les maillons de la filière bio. 16 800 € aideront le projet d’Aval Douar Beo pour la filière pomme de terre bio. Et 13 300 € permettront à l’Association des producteurs de fruits et légumes biologiques de Bretagne de développer et mettre en marché leur production. La Compagnie Fruitière, 1^er producteur de fruits de la zone Afrique-Caraïbes-Pacifique, qui commercialise des fruits et légumes exotiques en Europe et au Maghreb a remodelé son site internet. On trouve sur www.compagniefruitiere.com des informations sur le groupe (production, commercialisation…), en particulier sur sa politique environnementale et sociale, et ses actualités, à travers des photos, des vidéos, des cartes… Une étude du cabinet britannique PG Economics fait apparaître des rendements supérieurs de 10 % en moyenne pour les maïs OGM par rapport à des maïs conventionnels, avec un bénéfice économique de 186€/ha. Pour 2007, l’accroissement total du revenu agricole directement attribuable à la technologie OGM était évalué à 20,6 millions d’euros.