Les autres brèves du 2 mai 2018
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L’étiquetage des aliments indiquant le pays d’origine stimule les économies locales et contribue au développement durable : du safran marocain au poivre camerounais, l’étude de la FAO et de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) publiée le 26 avril souligne les multiples avantages apportés par l’étiquetage géographique.
Plus de 50 associations de défense animale à travers le monde, dont L214, ont lancé une campagne demandant à Starbucks de s’engager à exclure les œufs de batterie de son approvisionnement, partout dans le monde.
Le Laboratoire de sécurité des aliments de l’Anses de Maisons-Alfort a été désigné Laboratoire national de référence pour la détection des « virus d’origine alimentaire dans les denrées alimentaires d’origine animale hors coquillages ».
Dans l’arrêté du 9 avril, publié au Journal officiel du 24 avril, le ministère de l’Agriculture assouplit les règles concernant l’utilisation du lisier, et la conversion en biogaz et en compost des sous-produits animaux et de produits qui en sont dérivés.