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Michel et Augustin peine à trouver des œufs de plein air

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« La filière est en construction, il y a peu de disponibilité. On ne le dit pas assez mais il n’y a pas assez d’offre pour répondre à la demande en termes de volume », précise Sixtine d’Avout, responsable communication chez Michel et Augustin. Passer des œufs de batterie aux œufs de plein air représente une augmentation du coût de production d’environ 40 %. « Nous avons décidé de prendre ces frais à notre charge, il n’y aura pas d’impact pour le consommateur », ajoute-t-elle. Une autre difficulté se présente : les œufs de plein air modifient la stabilité des recettes, qu’il faut donc adapter. La marque espère pouvoir franchir le pas avec ses mousses d’ici octobre 2016.