L’AGPM et l’AGPB demandent des clauses de sauvegarde sur les importations ukrainiennes
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« Oui, nous devons être solidaires avec l’Ukraine mais après deux ans d’efforts, nous ne pouvons plus en supporter les conséquences seuls ! Les clauses de sauvegarde doivent intégrer les céréales, être automatisées et prendre en compte les volumes d’importations d’avant-guerre qui ont été multipliés jusqu’à 20 entre 2021 et 2023 », détaillent, dans un communiqué de presse du 14 février Eric Thirouin et Franck Laborde, président de l’AGPB et de l’AGPM. Ils précisent que « la libéralisation des échanges agricoles et alimentaires entraîne aujourd’hui une distorsion de marché insoutenable dans un contexte économique dégradé pour les producteurs français. »