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Agri Confiance joue le logo gagnant

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((/public/agri_confiance.JPG|agri_confiance.JPG|L))__En avant-première au Salon de l’Agriculture, Agri Confiance dévoilait le 12 février la promotion sur les produits commercialisés de plusieurs nouvelles marques.__ % %% Findus va ainsi apposer sur ses « packagings » d’épinards à la crème le logo Agri Confiance à compter d’avril-mais 2008. Dans le même temps un lien sera mis en place entre le site de la firme et Agri Confiance. Les épinards sont issus des producteurs de Coopagri Bretagne, engagés à 100 % dans les contrats d’engagements qui valident autant la traçabilité, que la sécurité alimentaire et le respect de l’environnement. France Champignon (80 % de la production nationale) engage le 1er février la même démarche sa marque phare, Royal Champignon. 20 millions de boîtes vont ainsi véhiculer dans les GMS l’image Agri Confiance. % %% Troisième entreprise à jouer la carte de la traçabilité et de la qualité : Les Vignerons de Buzet. A fin 2009, cette cave coopérative vise 10 millions de bouteilles signées Agri Confiance et 2 millions d’emballages. Tous les circuits de distribution sont concernés. Et les premiers résultats concrets sont venus de l’étranger. « Nous avons augmenté nos ventes de 100 000 cols en deux mois aux Pays-Bas et pu être référencés au Danemark, car les consommateurs y sont plus sensibles à la notion d’achat citoyen », indique Olivier Bellandi. Les Vignerons de Buzet ont aussi confirmé leurs positions chez Carrefour, qui développe une communication forte sur le thème de l’engagement durable. Pour Jean-Michel Delannoy, nouveau président d’Agri Confiance, cette démarche permet effectivement de se démarquer vis-à-vis de la concurrence. Elle inscrit dans la pratique les idées développées lors du Grenelle de l’environnement. Notamment la convention signée le 29 janvier entre les entreprises du Commerce et de la Distribution et Jean-Louis Borloo sur l’engagement en faveur du développement durable et responsable pour 2008-2012. « Aujourd’hui, il faut entrer dans l’économique pour que les discours se transforment en actes. C’est que nous faisons », conclut Jacques Weill. C.D.