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Amoéba, un résultat net en progression de 877k € au premier semestre 2024

Le | Agrofournisseurs

Le résultat net semestriel d’Amoéba ressort à -3 125 K€, contre -4 002 K€ au premier semestre 2023, soit une progression de 877 000 €, a dévoilé le 3 octobre 2024 la greentech française. Le résultat opérationnel de la société s’est quant à lui amélioré de +1,2 M€, passant de -3 882 K€ à -2 683 K€.

Amoéba, un résultat net en progression de 877k € au premier semestre 2024
Amoéba, un résultat net en progression de 877k € au premier semestre 2024

Le résultat opérationnel d’Amoéba s’est amélioré de +1,2 M€ entre le 1er semestre 2023 et le 1er semestre 2024, passant de -3 882 K€ à -2 683 K€, a dévoilé le 3 octobre 2024 la greentech française :

• Les dépenses de R&D ont été réduites de -446 K€, « grâce à la maturité technologique des gammes de produits sur lesquelles la Société se concentre désormais » ;

• Les frais de déploiement industriel ont été abaissés de -433 K€, « principalement par l’arrêt du programme de construction du site de Cavaillon et la focalisation sur la montée en puissance programmée du site de Chassieu » ;

• Les frais généraux et administratifs sont diminués de -361 K€, « grâce à la rationalisation des dépenses de fonctionnement courant, notamment le recours à des prestataires externes ».

Après prise en compte du résultat financier, le résultat net semestriel ressort à -3 125 K€ contre -4 002 K€ pour le 1er semestre 2023, soit une progression de 877 000 € (+28 %).

Les prochaines échéances

Amoéba a soumis en juillet 2024 une demande d’autorisation de mise sur le marché (AMM) de ses produits biofongicides Axpera Green et Axpera Noa auprès de l’US EPA, l’agence américaine de protection de l’environnement, dont les conclusions sont attendues mi-2025. Concernant l’Europe, la décision de l’Efsa sur l’approbation de la substance active est attendue d’ici la fin de l’année.

La société a également annoncé son intention de mettre en place une nouvelle structure juridique, autour de la société-mère opérationnelle cotée et deux sociétés d’exploitation commerciales spécialisées par marché, dont l’une dédiée aux activités de biocontrôle. « Cette nouvelle organisation doit permettre de gagner en visibilité pour attirer de nouveaux partenaires financiers et/ou industriels désireux de s’engager dans les filiales », projette Amoéba.