« Capital propreté parcelles ». C’est le nom du réseau social lancé par Bayer le 3 octobre 2017 sur le désherbage des grandes cultures. Une problématique qui se complexifie de par la progression des résistances et un panel de solutions chimiques qui se réduit. Huit agriculteurs, dont les exploitations sont implantées dans divers bassin de production, constituent la base de ce réseau. « Ils présentent leurs parcelles, les mauvaises herbes rencontrées, les degrés de résistances… Et partagent leurs itinéraires techniques, leurs idées pour gérer leur désherbage », explique Gabriel Carn, chef marché herbicides céréales chez Bayer.

Prescripteurs et distributeurs invités à contribuer

L’interaction dépasse toutefois ces huit exploitants : tout producteur connecté peut choisir de suivre un ou plusieurs d’entre eux et leur poser des questions, leur proposer des solutions… « Les prescripteurs, les distributeurs sont également invités à contribuer », complète Gabriel Carn.

Pour le moment accessible via le site Bayer-Agri.fr, Capital propreté parcelles pourrait faire l’objet d’une appli, selon la dynamique du réseau. « Si plusieurs centaines d’agriculteurs et professionnels se connectent, ce sera un vecteur d’échange très intéressant, commente Gabriel Carn. Tout agriculteur intéressé peut demander à intégrer Capital propreté parcelle en tant que « référent », l’objectif n’est pas de rester à huit. »