Douze facteurs qui stressent l’abeille, selon un rapport de l’Onu
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Une étude du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) publiée le 11 mars révèle que la mort des colonies d’abeilles constatée un peu partout dans le monde est due à une douzaine de facteurs. La liste des « stress » subis par les abeilles est longue : de la présence du Varroa, surnommé le « vampire de l’abeille » aux expositions de pesticides en passant par l’appauvrissement de l’alimentation des abeilles, dû aux monocultures intensives. Les abeilles continuent de disparaître à un rythme inquiétant, souligne le rapport du PNUE. Aux Etats-Unis, le taux de pertes atteint 30 % à la sortie de l’hiver. En Europe, les chiffres varient de -10 % à -30 %. J.P.