Filière dinde : et si la crise avait du bon ?

C’est la question que se pose le Cidef (Comité interprofessionelle de la dinde française) dans son bulletin du 31 mars. Et de lire : « la crise peut entraîner des changements d’état d’esprit et donc, de comportement ». Déjà, les achats de viande de dinde ont progressé de 6,3 % en deux mois. Une explication : la cuisine à domicile - moins chère, plus saine, plus authentique - remplacerait peu à peu le repas pris à l’extérieur. De plus, la stabilité des prix de détail encouragerait l’acheteur. L’envie de savoir ce que l’on mange profiterait également aux produits de proximité. A.G.