Monsanto vandalisé reçoit le soutien de la filière maïs
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Le 17 janvier, le site de Monsanto de Trèbes (Aude) a subi des actes de vandalisme menés par des anti-OGM, « les faucheurs volontaires ». Les semences détruites ce jour là ne sont pas OGM, assure Monsanto. « Nous ne vendons pas de maïs OGM en France et nous n'avons pas l'intention de le faire dans les années à venir », précise l'entreprise. Au travers d'un communiqué commun, l'AGPM et la FNPSMS condamnent ces agissements. Pour ces deux structures, « ces actes, inqualifiables et inadmissibles, doivent être fermement condamnés par les Pouvoirs Publics afin qu'ils ne se reproduisent plus ». L'UFS souhaite quant à elle que le gouvernement et les parties prenantes se mettent autour de la table « pour enfin dépassionner ce débat » et « permettre aux semenciers de poursuivre leurs travaux de recherche ».