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Vite vu, vite lu

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Terrena a investi près de 460 000 €, soit 9,6 % du coût de remise en état de la ligne capillaire fret Mignaloux-Nouaillé-Jardres. Cette ligne, de 12 km, était fermée depuis mars 2018. Elle a réouvert en janvier 2019 pour transporter notamment des céréales. Les autres contributeurs : l’Etat, SNCF Réseau et la Communauté urbaine de grand Poitiers.

La gamme maïs Saatbau s’enrichit de 9 variétés de maïs sur tous les créneaux de précocité, en grain comme en fourrage, parmi lesquelles Astardo, Agendo, Léonido ou encore Filmeno. Pour en savoir plus, www.saatbau.com

LG Semences lance Ganymed, une variété de trèfle violet très prometteuse. Ses atouts : son rendement (104 % au printemps et 106 % en été-automne), sa vitesse de reprise de végétation, sa pérennité, sa tolérance aux maladies et sa bonne qualité de fourrage.

Dans sa note de conjoncture parue le 14 février, Agreste conforme la hausse des surfaces de céréales d’hiver, + 2,4 % à 7 Mha et le net recul du colza, - 16,8 %, pour s’établir à 1,34 Mha. La sole de blé tendre progresse de 2,9 % à 5 Mha alors que celle de blé dur voit ses surfaces reculer de 8,5 %, pour redescendre à 318 000 ha. Les orges d’hiver perdent 2,9 % de leurs surfaces tandis que le seigle et le triticale gagnent respectivement 2,3 et 4,4 %.

Certis Europe a signé un accord exclusif avec la société portugaise CEV pour le développement et la vente d’un biofongicide dont la matière active, appelée Blad, est extraite des graines de lupin en germination. Protéine naturelle, cette dernière est efficace pour lutter contre le botrytis et l’oïdium de la vigne, de la tomate et des framboisiers, et contre la moniliose des fruits à noyaux. La mise en marché du fongicide, déjà commercialisé aux États-Unis et au Canada entre autres, est prévu en France à compter de 2022.

Pour la Confédération paysanne, le Contrat de solutions porté par 42 partenaires, FNSEA en tête, représente un « redoutable outil de promotion » de l’industrie phytopharmaceutique, des industriels de l’agroéquipement et des entreprises du biocontrôle. Dans un communiqué en date du 13 février, le syndicat dénonce non seulement le contrat qui va « à l’encontre de l’autonomie des paysan-ne-s », mais également « la captation des financements que le tampon officiel du gouvernement sur ce contrat pourra permettre ». Le ministre chargé de l’Agriculture s’apprête en effet à signer le contrat au Salon de l’agriculture.