Jacques Logie, DG d’Arterris - « Les mouvements entre coopératives ne sont pas terminés »
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« La France a perdu de la compétitivité, aussi bien sur les marchés agricoles qu'agroalimentaires, constate Jacques Logie. La réponse passe par une concentration des acteurs pour réduire les coûts de structure. Ceci est vrai non seulement pour les filières de production mais également pour celles de transformation. Nos groupes coopératifs devraient, dans les années à venir, continuer à se structurer. Difficile de dire combien de groupes il y aura dans 10 ans de Bordeaux à Lyon mais une chose est sûre, ils seront moins nombreux qu'aujourd'hui ! ».