Pierre-Emmanuel Fleurquin, directeur commercial d’Agrauxine : « On rémunère mieux le conseil que la vente du biocontrôle »
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En commercialisant des produits de biocontrôle, l’entreprise Agrauxine n’est pas visée par la séparation de la vente et du conseil des produits phytosanitaires. Ce qui n’empêche pas ses dirigeants de tout de même se sentir concernés par la mesure et de privilégier le conseil pour les solutions alternatives. « On rémunère mieux une structure qui conseille nos produits plutôt que celle qui les vend. Aujourd’hui, c’est la préconisation des solutions alternatives qui prédomine », estime Pierre-Emmanuel Fleurquin, directeur commercial d’Agrauxine.