Exclusif : revisitez avec nous les Culturales
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Plus de 40 stands visités par nos soins. Sociétés semencières, phytos, d'engrais et la distribution nous ont dévoilé leurs nouveautés. Visite interactive des stands.
Le tour des stands des phytos
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Certis : focus sur le biocontrôle
Chez Certis, le produit phare reste l'anti-limace Sluxx, « troisième produit le plus utilisé sur le marché en termes d'hectares », selon Fabrice Buet, chef de marché. Les granulés de la dernière formulation de ce produit de biocontrôle, Sluxx HP, colorées en bleues pour être plus visibles, selon la demande des utilisateurs, occupe une moitié de stand. Les cinq marques de traitement de semences de Certis sont également mises en avant. « Ce marché représente 15 à 20 % de notre chiffre d'affaires, en attendant un nouveau fongicide pour 2016 », précise Fabrice Buet.
Phyteurop : être agro-responsable avant tout
Sur l'espace Phyteurop, ce ne sont pas les produits qui sont mis en exergue, mais la démarche de la société. Laurent Naudet, ingénieur marketing et commercial pour la gamme biocontrôle, rappelle que Phyteurop est engagé dans une politique agro-responsable depuis 2005. L'automatisation, avec des QR sur chaque produit pour voir sa fiche de sécurité, ou encore les OAD comme Prévilimace au nom explicite, ou Flashdiag qui facilite la détection des résistances, sont également exposés.
UPL : communication sur les produits de « saison »
La firme UPL a choisi de faire de la place au produit Beetup Compact, avec une micro-parcelle de démonstration pour cet herbicide betterave de post-levée. UPL a opté pour des produits « de saison », et met donc en avant le désherbage du colza avec Tricolor, une combinaison de trois produits. Dans un autre registre, la société affirme son plein investissement dans la défense du dithiocarbamate : « nous somme leader sur l'utilisation de cette molécule chahutée », explique-t-on aux visiteurs. Enfin, une micro-parcelle met en avant, par anticipation, une molécule herbicide blé anti-dicotylédone : le produit devrait être homologué dans les années à venir.
Nufarm : le bon moment pour parler désherbage
Pour Nufarm, les Culturales sont « une bonne occasion de se montrer, de travailler la notoriété. » Kyleo, homologué en 2014 mais trop tardivement pour être commercialisé, est le vecteur de communication privilégié. « Nous savons que les agriculteurs qui testent Kyleo sont convaincus, donc nous leur proposons de repartir avec un échantillon », explique Noël Schermesser, directeur marketing. Les agriculteurs visitant le stand peuvent donc gagner jusqu'à 30 litres de cet herbicide pour les intercultures, par tirage au sort. Les herbicides d'automne Carmina Max et Capseed ont également leur place : « les agriculteurs sont déjà en train d'y réfléchir, c'est le bon moment pour en parler. »
GOWAN : focus produit
Les exposants de Gowan ont notamment mis l'accent sur Boravi WG, insecticide colza composé de 500 g/kg de phosmet, une matière active absente sur cette culture jusqu'à l'automne 2014 en France. L'herbicide Avadex 480, sur céréales et betteraves à sucres, ainsi que Aderia, fongicide pommes de terre, étaient également mis en avant.
A2D, joue la carte de l'échange
Aucun produit n'est spécifiquement mis en avant sur le stand d'A2D. L'ensemble de la gamme est déclinée et les exposants s'adaptent aux questions des visiteurs pour faire valoir les atouts des produits, au cas par cas.
Dupont : l'innovation responsable !
Sur le stand de Dupont, l'accent est mis sur l'accompagnement. « Nous recommandons des programmes de traitement afin de préserver les modes d'actions des produits, explique Ségolène Labelle, directrice de la communication chez Dupont. Ce qui implique de sécuriser le conseil, de bien prendre en compte les problématiques au sein des parcelles et de positionner au mieux les traitements. » L'accompagnement se décline avec des outils et services à destination de la distribution agricole, notamment pendant les tours de plaine. Evalio agrosystème suit les populations d'insectes à partir d'un réseau de piégeage. Evalio flashflore détermine les mauvaises herbes. Il suffit de faire une photo de la plantule avec un smartphone ou une tablette, l'application est en téléchargement sur AppleStore et GooglePlay .
Côté produit, la firme entend chambouler la logique des traitements fongicides céréales avec une solution SDHI associée au chlorothalonil pour un positionnement en T2. « On s'adapte au programme des distributeurs, c'est ça être responsable ! », complète Ségolène Labelle.
Bayer : désherbage responsable, solutions durables
Objectif pour Bayer avec sa gamme Invigor : devenir un des acteurs clé du secteur semencier en France, mais aussi sur la zone Europe, Afrique Moyen Orient
Sur son stand, la firme a mis l'accent sur le premier de la série, le colza inV1010 qui est commercialisé en France pour les prochains semis. Pas d'objectifs chiffrés en cette année de lancement mais une vigilance sur l'accueil par les agriculteurs : « L'essentiel pour nous est la satisfaction des agriculteurs », souligne Guislaine Pinochet… Plusieurs campagnes sont nécessaires pour bien installer une variété et être dans le peloton de tête dans 5 ans ». InV 1010 ouvre la voie. 6 variétés sont en deuxième année d'observation au CTPS et 7 ont fait leur entrée en 2015.
Ce colza a obtenu par le CTPS la note de 104,53 face à 103,28 en moyenne pour les meilleures références. « Inv1010 offre un profil agronomique complet, une excellentes teneur en huile et il est peu sensible à la verse malgré son grand gabarit », relève Fabien Goraguer, responsable semences en France.
Fort du succès de nos colzas de printemps au Canada, nous avons souhaité investir en Europe, complète explique Kamel Beliazi, responsable semences pour l'Europe, l'Afrique et le Moyen-Orient. Le débouché en alimentation humaine monte en puissance.
L'activité semences est l'un des quatre piliers clés de la stratégie de développement de Bayer : « Nous souhaitons au niveau mondial doubler notre chiffre dans dix ans pour atteindre 2Md d'euros avec six cultures clés : légumes, colza, coton, riz, soja et blé, explique Kamel Beliazi, responsable semences pour l'Europe, l'Afrique et le Moyen-Orient. Parmi les produits attendus et qui pourraient apparaitre au catalogue dans une dizaine d'années : des blés hybrides qui offriront un gain de productivité, des atouts agronomiques supplémentaires comme une tolérance à la sécheresse et un prix très attractifs. Un centre de sélection variétal sera finalisé pour le 24 septembre à Glatersleben en Allemagne.
Adama : simplification de l'agriculture en cours
Gain de temps, facilité d'utilisation. L'équipe d'Adama a mis l'accent sur le service apporté à l'agriculteur à travers sa gamme et ses outils d'aide à la décision. Le message « simplification de l'agriculture en cours » a été le fil d'Ariane du stand. « Les agriculteurs ont le sentiment que leur environnement professionnel se complexifie, leur métier est plus difficile, plus exigeant, explique Simon Cheylan, directeur marketing stratégique d'Adama. À nous de les aider à faire face à ces contraintes. » Parmi les services mis en avant : la plateforme BPI (Bonnes pratiques insecticides) pour s'autoguider et intervenir au bon moment. Le fongicide Broadway, tout juste homologué s'inscrit aussi dans une logique de souplesse pour construire les programmes : « composé de folpel, il se place en T1, contre la rouille et la septoriose, en alternative au chlorothalonil. »
Syngenta : au cœur de l'innovation
Suivez les flèches : semences, services, innovations ou raisonnement de la protection en blé. Les visiteurs se sont répartis sur les quatre pôles du stand pour rencontrer les ingénieurs de Syngenta. Les micro parcelles ont mis en avant les variétés de la gamme Hybrido avec les orges hybrides tectoo et tooty. Côté innovation, premier lever de rideau sur une SDHI attendue en 2016 et dont le nom de la molécule est le solatenol. Quand au pôle service, les agriculteurs ont notamment apprécié les guides de la collection bonnes pratiques, « une vraie mine d'informations », souligne Isabelle XXXXX, ainsi que les OAD.
De Sangosse : l'essentiel de la protection et des bonnes pratiques
Le message porté par de Sangosse sur les culturales répond à une vaste enquête menée par la société auprès de 400 agriculteurs : Allez à l'essentiel. « les agriculteurs ont besoin d'être rassurés sur leur pratiques, qu'on donne du sens à leur métier », explique Christophe Zugaj, responsable communication chez de Sangosse. Ce bruit de fond, se traduit par des attentes fortes en termes d'échanges. Nous savons qu'ils passent 7 heures en moyenne sur un événement comme Les Culturales. Ils ont peu de temps pour chaque stand, à nous d'être pragmatiques pour partager notre expertise. Les agrileaders veulent aller à l'essentiel ». La firme décline son offre en la calquant sur le cycle des cultures : semis, protection, récolte, stockage. « Beaucoup d'agriculteurs nous sollicitent sur l'agronomie, les innovations et le biocontrôle », complète Christophe Zugaj. L'objectif est de leur apporter des solutions pérennes pour que les cultures expriment tout leur potentiel.
Un focus est proposé sur sa démarche Stewardship dans le domaine de la lutte contre les limaces. Nous mettons les bonnes pratiques d'épandage en avant pour une utilisation responsable du métaldéhyde afin d'éviter les pollutions ponctuelles », explique Arnaud….. Au delà de l'accompagnement des agriculteurs, notre mission est de répondre aux attentes sociétales.
FMC prend place en Europe
Officialiser le rachat de Cheminova par FMC auprès des agriculeurs et de la filière : telle est la priorité pour l'équipe présente sur les culturales avec un maitre mot : l'optimisation. « Nous avons une complémentarité géograhique, explique XXXX. Cheminova est très présent en Europe, FMC sur les deux Amériques. FMC possède surtout un portefeuille insecticides, Cheminova herbicides. « Notre gamme est optimisée », souligne XXX. Le rapprochement permet à FMC, jusque-là prestataire, de se tourner vers la production et la recherche. Cheminova apporte cinq usines dans le monde (Allemagne, Australie, Inde, Italie, Danemark). La réunion des deux entités se traduit par trois chiffres clés : 150 molécules, 1500 formulations, 4700 homologations. « Six molécules sont en développement, les premières devraient obtenir une homologation en 2016 », précise XXXXX FMC va investir 23 M€ sur 16 projets en 3 ans.
Belchim : Priorité à l'échange sur le stand de Belchim.