La coopération agricole très visible au Sia

Pour la première fois cette année, Coop de France et l’Union InVivo, organisations coopératives réunies au sein d’Acooa, Alliance des coopératives agricoles, faisaient stand commun et massif au Sia (Salon international de l’agriculture). De quoi donner une visibilité encore plus grande au secteur coopératif en cette année internationale des coopératives. « Nous avons voulu manifester plus d’ambitions et d’efficacité dans la coopération afin de répondre aux défis de la croissance », a indiqué Patrice Gollier, directeur d’Acooa, lors de l’inauguration du stand le 29 février, aux côtés de Philippe Mangin, le président de cette structure. Ces derniers ont d’ailleurs rappelé les fondements de la naissance d’Acooa : la représentativité dans les instances européennes, la communication vers le grand public, la gestion des savoirs, et le développement économique. L.C.

Dans le hall 3 du salon, les collaborateurs d’InVivo et de Coop de France étaient donc réunis sous la même bannière Acooa pour rappeler aux agriculteurs les avantages d’être coopérateur et expliquer au grand public les atouts du modèle économique coopératif. Une belle occasion par ailleurs de mettre encore plus en relief que d’habitude les produits issus d’Agri Confiance, démarche de management de la qualité du producteur au consommateur pilotée par les coopératives agricoles.

Légende photo 5 : Pour la première fois au salon de l’agriculture, Coop de France et InVivo, réunies au sein d’Acooa, faisaient stand commun.

Légende photo 6 : Plus de relief pour les produits issus de la démarche qualité Agri Confiance.

Légende photo Stéphanie : Patrice Gollier et Philippe Mangin, directeur et président d’Acooa, ont inauguré le stand le 29 février.

Acooa présente les objectifs de son pôle animal

Le 27 février 2012, Hubert Garaud, président du pôle animal de Coop de France, a présenté les objectifs d’Acooa, à l’occasion du salon international de l’agriculture à Paris. De la question « produire, transformer, consommer français : quelles réalités pour les filières animales ? » découle plusieurs enjeux : environnement, bien-être animal, économie… Après avoir rappelé l’importance des filières animales françaises : un quart du chiffre d’affaire pour un tiers des emplois du secteur agricole, nombreux emplois non délocalisables, Hubert Garaud a fait part de l’ambition du groupe : engager un travail de transversalité, « par anticipation et par co-construction », pour gagner en cohérence. L.A.

Photo : Hubert Garaud, président du pôle animal : « Nous voulons être les acteurs, avec les consommateurs, d’un pacte pour une alimentation sécurisée, diversifiée, accessible à tous ».