Les coopératives québécoises s’intéressent à l’agriculture écologiquement intensive
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« Nous nous sommes rapprochés de la coopérative Terrena et nous regardons attentivement se qui se passe du côté de l’agriculture écologiquement intensive », a indiqué Denis Richard, président des coopératives agricoles du Québec à l’occasion des Terrenales qui se sont déroulées les 27 et 28 mai 2010 près d’Angers (voir notre lettre du 31 mai). Si les exploitations adhérentes ont une surface moyenne de 150 hectares, la structure ressemble à Terrena avec des agriculteurs en polyculture-élevage et un chiffre d’affaire de 4 milliards de dollars. « Nous constatons les mêmes choses au Quebec : les citoyens n’aiment pas l’agriculture et beaucoup de fermes sont en difficultés financières », poursuit Denis Richard. L’agriculture écologiquement intensive serait alors une solution à la crise économique et sociale que vit l’agriculture du Québec.