Référence agro

En 2025, Eureden vise 250 adhérents engagés dans des groupes « progrès culture »

Le | Cooperatives-negoces

Les journées Grandes cultures d’Eureden se sont déroulées du 21 au 23 juin à Trébrivan dans les Côtes-d’Armor. L’occasion de rappeler les ambitions de la démarche « Cultivons autrement » du groupe à l’horizon 2025 et de présenter les premiers résultats en matière d’évolution des pratiques agroécologiques.

En 2025, Eureden vise 250 adhérents engagés dans des groupes « progrès culture »
En 2025, Eureden vise 250 adhérents engagés dans des groupes « progrès culture »

Fédérer les équipes, salariés et adhérents, autour de la démarche de progrès du groupe « Cultivons autrement ». Telle était l’ambition d’Eureden en organisant, du 21 au 23 juin, les journées Grandes cultures. Au cœur de la dynamique : identifier et promouvoir les pratiques agroécologiques pour diminuer l’impact environnemental des activités liées aux cultures. Des actions sont déjà mises en place pour favoriser la biodiversité, la qualité de l’eau, la réduction des émissions de CO2, la fertilité des sols et la réduction des produits phytosanitaires : le tout, en maintenant la performance économique des exploitations.

450 visiteurs en trois jours

Parmi les solutions présentées lors de ces journées techniques organisées sur la plateforme expérimentale de Trébrivan : le recours aux produits de biocontrôle, aux biostimulants, l’impact du choix variétal, les performances du désherbage mécanique, les stratégies à déployer pour limiter l’apparition de résistances aux herbicides, ou encore la fertilisation azotée du blé et les outils d’aide à la décision pour piloter les programmes fongicides. Près de 450 personnes ont participé à cette manifestation.

Une gamme « zéro produit dangereux » en préparation

Eureden a également rappelé les objectifs fixés par le groupe à l’horizon 2025 :

  • Multiplier par deux les surfaces protégées par des solutions alternatives
  • Désherber mécaniquement environ 10 000 hectares de maïs et de légumes
  • Atteindre 250 adhérents engagés dans des groupes de progrès culture
  • Proposer une gamme de produits avec zéro produit dangereux
  • Multiplier par deux la part des surfaces suivies par un outil d’aide à la décision (OAD) pour l’application de fongicides