Soufflet a valorisé 25 000 tonnes de colza en bas GES
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À la fin février, le négoce Soufflet a permis à 250 agriculteurs de toucher une prime pour la culture de colza émettant peu de gaz à effet de serre.
Soufflet agriculture a été l’une des premières entreprises a utilisé l’outil de calcul des émissions de gaz à effet de serre (GES) et de stockage du carbone pour les cultures de colza, tournesol, blé, maïs et soja à destination du marché des biocarburants, lancé par le Négoce agricole en août 2020. À fin février, le groupe a valorisé plus de 25 000 tonnes de colza avec une prime bas GES pour plus de 250 agriculteurs, indique Soufflet dans un communiqué du 8 mars. « Un beau succès », estime le négoce. En fin de campagne, environ 15 % de la collecte de colza devraient être valorisées en bas GES.
Fertilisation et gestion de la matière organique
1200 producteurs ont utilisé la calculette pour voir s’ils étaient éligibles à la prime. L’outil prend en compte l’évolution des pratiques culturales, la fertilisation, la gestion de la matière organique et le rendement de la culture. Pour être qualifié bas GES, le bilan doit être inférieur à la moyenne régionale de référence, soit 712 kilos de CO2 par tonne de matière sèche produite.
Réduire les émissions sur la logistique
Cette démarche s’inscrit dans le plan RSE de Soufflet qui travaille par ailleurs à la réduction des émissions de GES liées au transport de ses marchandises. Son objectif est de réduire les émissions de CO2 de 15 % d’ici 2025.