Après le Val-de-Marne, la Seine-Saint-Denis est le deuxième département à prendre un arrêté antiphyto
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La première vague d’arrêtés « anti-pesticides » concernait des mesures municipales. Une nouvelle tendance pourrait suivre : celle de l’action à l’échelle départementale. Après le Val-de-Marne, qui avait ouvert cette voie, c’est la Seine-Saint-Denis qui prend un arrêté d’interdiction de l’usage de pesticides sur son territoire, le 18 septembre. Stéphane Troussel, président du département, reconnaît la dimension avant tout symbolique de sa démarche. « Bien qu’essentiellement urbain, le département de la Seine-Saint-Denis souhaite par cet arrêté prendre toute sa part dans la lutte pour la préservation de l’environnement et la protection de la santé des populations de son territoire », précise un communiqué du conseil départemental. Sept communes de Seine-Saint-Denis ont déjà pris ce type d’arrêté.