Soufflet Agriculture dévoile sa stratégie de recrutement
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Le job dating, organisé par Soufflet Agriculture fin mars, fut un succès. Près de la moitié des 25 postes recherchés est en passe d’être pourvue. Pour continuer sur cette dynamique, le groupe innove avec « des journées du recrutement » : une par mois, sur une thématique donnée. Lancement le 28 avril. Grégoire Boyen, directeur général du groupe nous en dit plus.
« Nourrir le monde et préserver la planète. Cela vous parle ? » A priori, oui ! Le job dating, organisé par Soufflet Agriculture autour de cette thématique durant quatre jours à Paris, fin mars et début avril, fut un succès. Selon Grégoire Boyen, directeur général de Soufflet Agriculture, « pour asseoir le projet du groupe dans les huit pays (1) où nous sommes présents, nous avons besoin de recruter, très vite, des fonctions support en marketing, contrôle de gestion, analyste crédit, RH… Près de 25 au total, toutes des créations de poste. Cette base est indispensable pour aborder la deuxième phase de notre projet : augmenter le nombre de technico-commerciaux, sur le terrain, pour être au plus près des attentes des agriculteurs et ainsi, accompagner leurs changements de pratiques. En France, dans les cinq ans, le nombre de TC devrait passer de 150 à 300. Et sur le périmètre des huit pays couverts, de 250 à 600. »
Les candidatures continuent d’affluer
Sur les 25 postes ouverts lors du job dating, près de la moitié est désormais pourvue. « Nous avons reçu, en amont, plusieurs centaines de candidatures qu’il a fallu trier. L’idée n’était pas non plus d’être trop sélectif car l’enjeu était précisément, plus que des profils, de recruter des personnalités. » Si le nombre de candidats reçus lors de ces quatre journées n’a pas été dévoilé par Grégoire Boyen, il assure que « les bénéfices de la communication autour de ce jog dating à grande échelle vont encore se faire sentir dans les quatre à cinq semaines à venir. Le relai via les réseaux sociaux a montré notre appétit en matière de recrutement. Nous recevons encore des candidatures. » Pour ceux qui ont été sélectionnés, après deux entretiens par deux jurys différents à Paris puis une visite du site de Nogent, le recrutement entame sa phase finale.
Une journée recrutement VIE, le 28 avril
Soufflet Agriculture ne compte pas s’arrêter là. « Notre besoin de croissance est tel que nous serons amenés, dans les mois à venir, à recruter de nouveaux collaborateurs, confie-t-il. Nous avons donc décidé de donner une continuité à ce format en organisant, chaque mois, une journée du recrutement, axée sur un thème précis. Le coup d’envoi sera donné le 28 avril. Cette journée sera orientée sur le recrutement d’une trentaine de VIE, Volontaire International Entreprise, pour les huit pays. Nous ciblons les jeunes diplômés des écoles d’agri, agro, de commerce ou d’ingénieurs. Suivrons le 19 mai, un recrutement spécifique pour les postes financiers et le 23 juin, pour les équipes marketing. »
Une façon aussi de mettre les sujets RH sur le devant de la scène
« Pour chaque entretien, en présentiel, seront présents deux des huit membres du Codir, le responsable métier de l’activité qui recrute et moi-même, précise Grégoire Boyen. Nous espérons pouvoir accueillir entre 25 et 30 candidats chaque jour. Une activité certes chronophage pour les membres du Codir mais indispensable à mon sens. Les sujets RH sont rarement prioritaires : là, c’est une façon de bâtir un calendrier précis pour s’occuper du recrutement de nos futurs collaborateurs. N’oublions pas que la réussite de notre développement dépend à 90 % de la qualité de nos équipes ! »
Aller encore plus vite, grâce à InVivo
Pour structurer son projet dans les cinq ans à venir, Soufflet Agriculture peut compter sur les équipes d’InVivo. « Même si le projet avait été dessiné avant le rachat de Soufflet par InVivo, nous constatons que ce rapprochement va nous permettre d’aller encore plus vite, en profitant notamment de l’expertise des deux équipes et de la gamme de Bioline pour renforcer notre offre terrain. L’image d’InVivo associée à celle de Soufflet Agriculture devrait nous permettre d’accueillir de nouveaux talents. Force est de constater que les candidats, hors milieu agricole, sont encore minoritaires. Notre activité reste encore moins audible que celle de groupes tournés vers le luxe, la grande consommation ou l’aéronautique. À nous d’inverser la tendance ! En prenant le temps, il est facile d’intéresser les non-initiés, tant les facettes du monde agricole sont riches et multiples. Chez Soufflet Agriculture, nous souhaitons prendre ce temps. »
(1) France, Roumanie, Pologne, Bulgarie, Ukraine, République Tchèque, Slovaquie et Russie