Référence agro

Via Alicoop, Océalia devient le premier fournisseur de nutrition animale d’aladin.farm

Le | Cooperatives-negoces

La filiale dédiée à l’alimentation animale de la coopérative Océalia, Alicoop, inaugure l’ouverture du volet nutrition animale de la plateforme e-commerce aladin.farm. En parallèle, le groupe coopératif charentais déploie une politique RSE pour mieux accompagner ses adhérents.

Stéphane Ducher, directeur marketing opérationnel élevage d’Ocealia, entouré de Pascal Collart, chef - © D.R.
Stéphane Ducher, directeur marketing opérationnel élevage d’Ocealia, entouré de Pascal Collart, chef - © D.R.

« Nous modernisons notre offre pour accompagner l’arrivée des plus jeunes et cela passe aussi par le e-commerce, explique Stéphane Ducher, directeur marketing opérationnel élevage d’Océalia. C’est pour cela que nous sommes heureux d’inaugurer l’offre nutrition élevage d’aladin.farm. » Premier fournisseur à ouvrir ce nouveau volet de la plateforme e-commerce d’Invivo, via sa filiale de production d’aliments du bétail Alicoop, la coopérative charentaise lance en parallèle la fabrication d’une unité de micro-ingrédients pour assurer son autonomie ainsi que la trituration du colza et du soja. « Nous voulons produire, extraire et triturer sur le territoire », annonce Stéphane Ducher.

Océalia avance vers une offre globale, couplant animal et végétal

Ce projet accompagne le déploiement d’une politique RSE au sein du groupe, rappelée par deux signatures : Agir Durablement pour Nourrir (ADN) pour la filiale Alicoop et Le sillon responsable pour Océalia. « Nous accélérons sur la RSE car notre démarche doit être globale pour accompagner l’adhérent vers une meilleure rémunération et une activité plus durable, continue le directeur. Et sur le plan social et sociétal, nous voulons lui donner les moyens de se défendre. » Cette approche se décline également au niveau du conseil, où la coopérative avance vers une offre plus globale. « Nous mettons en place une dynamique entre productions animales et végétales au sein des conseillers d’exploitation, afin de développer une offre sol-animal », conclut Stéphane Ducher.