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Bioline by InVivo et Pour une agriculture du vivant annoncent leur partenariat

Le | Cooperatives-negoces

Bioline, la division agriculture du groupe InVivo, et Pour une agriculture du vivant ont annoncé, le 20 avril, leur rapprochement, pour travailler conjointement au « déploiement à grande échelle de la transition agroécologique ».

Bioline by InVivo et Pour une agriculture du vivant annoncent leur partenariat
Bioline by InVivo et Pour une agriculture du vivant annoncent leur partenariat

« Orienter et massifier ensemble une transition agroécologique, engagée par toutes les agricultures », c’est l’objectif du partenariat stratégique noué entre Bioline by Invivo et le mouvement Pour une agriculture du vivant, annoncé le 20 avril. « Ce partenariat est dans la droite ligne du projet stratégique de Bioline, la troisième voie de l’agriculture, à savoir : préserver un haut niveau de productivité et accompagner la diversité des modes de production agricole dans cette transition pour relever les enjeux environnementaux et sociaux auxquels nous sommes confrontés », réagit, dans un communiqué, Laurent Martel, directeur de Bioline.

« Les coopératives sont des acteurs incontournables »

Un rapprochement également salué dans les rangs de Pour une agriculture du vivant, dont la directrice, Anne Trombini. Elle insiste sur la nécessaire coopération avec l’ensemble des parties prenantes du système agro-alimentaire : « Pour une Agriculture Du Vivant cherche à déployer massivement les solutions qui font leurs preuves sur le terrain et dans les projets pilotes : les coopératives agricoles sont donc des acteurs stratégiques incontournables pour la réussite de notre mission, et cela fait de Bioline, division agriculture du groupe coopératif InVivo, un partenaire clef. »

Des travaux sur l’indice de régénération

Dans ce cadre, les plateformes Smag et Agroécologie.org ont été intégrées à l’indice de régénération, portée par Pour une agriculture du vivant, pour « simplifier son calcul par les agriculteurs, de manière à piloter leur démarche de progrès agroécologique de la manière la plus fluide possible », poursuit Laurent Martel.