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Les 22 lauréats de la French tech agri sont dévoilés

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Le 13 juillet, le ministère de la Transition numérique a dévoilé les 22 lauréats de la première édition de la French tech agri20. L’objectif est de faire émerger des « champions technologiques » pour aider à la transition agricole.

Les 22 lauréats de la French tech agri sont dévoilés
Les 22 lauréats de la French tech agri sont dévoilés

Gaïago, Javelot, Sencrop, Algama, Elicit Plant, Axioma, Micropep, Naïo, ou encore Mycophyto font partie des 22 lauréats de la première édition de la French tech agri20 lancée le 28 février lors du Salon de l’agriculture. Les noms ont été dévoilés le 13 juillet par le ministre délégué à de la Transition numérique et des télécommunications, Jean-Noël Barrot.

Répondre aux défis agricoles et alimentaires

L’objectif du gouvernement est de faire émerger des « champions technologiques proposant des innovations de rupture répondant aux principaux défis alimentaires et agricoles » et faire de la France « l’un des premiers acteurs de la troisième révolution agricole ».

Félicitations aux 22 #startup lauréates de la 1ère édition du French Tech #Agri20.

Très fier de ces futures championnes de l’ #agritech qui transforment, innovent et participent à la transition #agricole comme alimentaire. pic.twitter.com/TckE5ivuUH

— Jean-Noël Barrot (@jnbarrot) July 13, 2022

Déjà, trois structures agricoles font partie de la French tech Next 40/120, un label créé en 2019 pour soutenir et promouvoir 40 jeunes entreprises françaises considérées comme prometteuses et susceptibles de devenir des leaders technologiques : Ynsect, Innovafeed et Agriconomie.

Un secteur porteur pour le numérique

Pour Agriconomie, le secteur agricole peut être un enjeu important pour le digital : « Les agriculteurs sont la catégorie socio-professionnelle la plus connectée, explique Paolin Pascot, fondateur d’Agriconomie. Le métier suppose de prendre en compte une multitude de facteurs et le digital peut donc fortement les aider. »

Des thèmes ciblés

Pour cette première édition, des thèmes avaient été ciblés : alimentation durable et favorable à la santé ; systèmes agricoles durables et équipements pour la transition écologique ; fermes du futur ; entrepreneurs du vivant ; bois de construction ; bioéconomie pour les usages non alimentaires de l’agriculture. L’entreprise devait également avoir son siège social en France, avoir un premier exercice fiscal clôturé après 2010 et être indépendante.